samedi 16 avril 2011

Le gros porc ahanant sur elle, c'est Caubère *?

Christine Stark,


1999. Pastel.


Client tel que le voit une prostituée quand il est sur elle
Je copie ce témoignage ici pour plus de visibilité. Il est long mais il vaut le coup. Je l'ai laissé tel que la personne qui l'avait posté l'a formulé.



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INFRAROUGE: LES TRAVAILLEUSES DU SEXE


Le 21/03/2009 – Inès 415-


Je suis une prostituée officiant en appartement par le biais d’Internet et  d’annonces dans la presse. J’exerce mon activité depuis bientôt 14 ans.  Je me prostitue en parfaite connaissance de cause, d'une manière lucide, glacial, implacable, pragmatique et au bout du compte sans trop d'états d'âme et sans être si malheureuse que ça. Pour ma par je n’arriverai jamais a trouver aucune crédibilité a un témoignage de prostituée qui accepte de paraître a visage reconnaissable par sa clentele alors que celle ci se trouve obligé de gagner son pain par le biais de ceux-ci. Nous ne sommes pas bêtes au point d’exprimer sincèrement nos état-d’ame, nos rancœur via a vis de tous ses hommes qui nous payent alors que ceux ci vont nous reconnaître et de dépit en entendant la vérité sur eux ne nous ferrons plus bénéficier de leur manne financière. Aucune d’entre nous n’allons prendre le risque de  saborder notre outil de travail  pour un reportage télé. Par contre la compaisance,l’éloge du client et  l’apologie de la prostitution nous permettra de pouvoir faire notre publicité ainsi ainsi que notre auto promotion.  Il sera bien plus dans l’intérêt de la prostituée filmé, de caresser sa futur clientèle dans le sens du poile que de lui balancer ses 4 vérités. C'est sûr que si on commence à dire aux clients <<écoute mon petit coco, je fais la p*** parce que je préfère m'***** avec toi pendant une heure que de me taper une semaine de femme de ménage, je fais la p*** parce que physiquement je n'ai pas été béni des dieux, intellectuellement je n'ai pas inventé l'eau chaude, que  je suis un peu la caricature de la pauvre fille qui sorte de droit de son caniveau. Quand on a un physique moyen, une intelligence moyenne, aucun talent, aucun savoir-faire, aucun diplôme, aucune relation et que l'on veut sortir de sa misère sans sombrer dans la délinquance la plus vile, la prostitution c'est quand même la chose la plus abordable si on a un physique au minimum solvable>>. Si tout à coup je m'amuse à balancer cette vérité aux clients c 'est tout de suite beaucoup moins vendeur, moins glamour et racoleur. Notre travail consiste avant tout a faire rêver le client . Ayant rencontré de nombreuses prostituées, j'ai pu constater à maintes et maintes reprises que beaucoup d'entre elles étaient atteintes par le syndrome de Stockholm. Elles ont une certaine forme de reconnaissance, elles estiment avoir un devoir de gratitude envers leur clientèle qui leur permet d'échapper a un travail harassant et mal payé. Il y’ a également le lavage de cerveau qui est quelque chose de primordial si l’on désire durer dans le métier.
   
À mes débuts, je me suis souvent menti à moi-même, je ne suis raconté des histoires, je me suis fait croire que faire la putes ça n'était pas si terrible, ni si horrible que ça. Avoir recours à ce processus psychologique était pour moi une chose vitale voire même une question de survie. La prostitution de façon professionnelle comme unique source de revenus est une chose très pénible aussi bien nerveusement, psychologiquement que physiquement. Instinctivement j'ai tout de suite compris qu'il fallait à tout prix que je me préserve. Et pour me préserver la lucidité face a ma prostitution serait quelque chose de tout à fait inenvisageable. Si je commence à me dire que mon unique fonction, que mon unique objectif professionnel consistait à être un dévidoir a foutre. Que mon outil de travail serait des sexes d'hommes mal nettoyés. Que j'allais passer mes après-midi me frotter et à me nettoyer le cul comme une malade mentale avec un savon gynécologique antiseptique. Eh bien non cette vérité ne pouvait en aucun cas me permettre de la regarder en face. Si un jour chez l'inconscience de regarder cette réalité et cette tristesse  de ma vie, je sombre dans l'alcoolisme ou la dépression. Alors pour me mettre du baume au cœur et du cœur à l'ouvrage je me dis que faire la p*** ce n'est pas si mal que ça, que je gagne bien ma vie, que je rencontre des clients intéressants(MMMMOOOOUUUIIIII,BOF,BOF,) que je fais les horaires que je veux, je part en vacances quand je veux, enfin bref je me balance tous les lieux communs et les imbécillité qu'on entend habituellement quand on parle de prostitution. C'est un peu la méthode  couet :  
   
tout va bien…. tout va bien…. tout va bien….. Le problème avec ce même tout va bien, c'est que quand on commence à gratter la fine couche de vernis, eh bien ce tout va bien et plutôt bancale, vacillant et claudicant. Il est une chose que j'ai également remarquée c’est que c'est généralement les prostituées les plus bêtes, celles qui sont les plus superficielle avec un quotient intellectuel d'une huître et qui ne pensent qu'à s'acheter des sacs à main ainsi que la dernière robe à la mode qui vive le mieux leur prostitution. Leur manque de recul sur elle-même, leur non  regard sur leur activité, leur nom lucidité sur le genre d'adultes qu’elles sont devenus, va faire quels seront les mieux à même de traverser ce passage de leur vie sans éprouver trop d'états d'âme ni de fêlure. Leur légèreté atténuera leurs blessures. Et c'est d'ailleurs dans l'intérêt du client d'avoir face lui une p*** stupide ; car comme ça elle ne risque pas de lever sont regard sur ce client qui crève de solitude, qui a peur de la solitude, qui estime que la solitude est une forme de maladie honteuse, ce client qui n'arrive pas à se suffire à lui-même et qui a besoin de se sentir exister a travers le, regard de la p*** qui a son regard rivé sur les aiguilles de sa montre.  
   
Le plus grand danger pour une p*** c'est la lucidité. Réfléchir pour une p*** peut-être une calamité. C'est donc pour cela que je me pose plus de questions, je ne remets plus en question. J'ai bien trop peur du reflet du miroir. Maintenant j’ai  trouvé une méthode imparable : je prends ma tête, j'enfonce ma tête dans un trou de sable comme pour les autruches et je me répète inlassablement, quotidiennement tout va bien, tout va bien, tout va bien.  
   
Effectivement depuis que j'ai la tête dans le guidon tout va beaucoup mieux dans le monde enchanté et follement merveilleuse de la prostitution où tous les clients sentent la savonnette, le jasmin et le muguet où tous les clients sont respectueux, sans aucune maladresse ni brusquerie me caresse avec douceur ; dans ce monde fabuleux où les clients sont des érudits avec des conversations hautement philosophiques et ne nous font  pas éponger leurs inénarrables déboires conjugaux ainsi que la médiocrité et la petitesse de leur existence. Je suis terriblement épanoui dans ce monde prostitutionel  où les femmes ne se prostituent pas pour de l'argent, mais par plaisir de se faire ***** par l'inconnu qui va m'imposer ses odeurs corporelles ainsi que ses sécrétions.  
   
Il y a une bonne résolution que j'ai prise il y a quelques années, auparavant je m'efforçais coûte que coûte d'effacer, d'oublier la passe avec le client. Un jour je me suis dit qu'il ne fallait justement pas que j'essaye d'occulter mes actes. Je devais accepter. Accepter ce dernier gros porc ahanant sur moi. Je devais accepter ses coups de queue à répétition accumulées de la terre à la lune de la lune à la terre. Je devais accepter ce dernier cunnilingus mal fait. Occulté ne ferait qu'aggraver les choses et laisserait  en moi des souvenirs et images impérissables. Accepter accepter encore et toujours accepter, surtout ne pas me sentir utiliser essayer tant bien que mal de poser un regard détaché sur ce client qui m'utilise comme un jouet pour adultes.  
   
Je devais accepter le regard méprisant que la société pose sur moi. Je devais apprendre a ne plus occulter, je devais apprendre a faire avec J'ai passé toute ma vie d'adulte  a dépassé mes limites pour copuler avec des hommes qui me répugnaient au plus haut point. J'ai fait toutes ces choses pour l'argent. Toutes ces choses je ne les aurais jamais faites par amour ou par amitié. Et oui, derrière ces visages bien maquillés, derrière ces corps bien emballés bien apprêtés, derrière ces sourires enjôleurs et commerciaux que d'angoisses cachées, que de questions sans réponse, que de doute, que de gouffre, que de peur face à l'avenir, que de terreur face à sa vie et à la vie.  
   
Alors pourquoi je continue? J'entends déjà la conjuration des imbéciles heureux, alors pourquoi je continue ? vous ne savez donc pas ? pour l'argent, pour encore et toujours plus d'argent !!!! Essayez de me trouver un métier où l'on gagne de l'argent aussi rapidement sans avoir fait d'études sans aucun investissement financier inabordable. Vous ne trouvez pas ? est bien moi non plus je n’ai pas trouvé. Alors oui, pour moi, part rapport à mon histoire, à mon passé ça vaux le coup, la prostitution et la seule chose qui me permet de sortir de ma misère. L'argent que m’ apporte mon activité me permet d'avoir un train de vie que je n'aurais jamais pu espérer avec un travail normal sans qualification. Grâce à la prostitution, du jour au lendemain j'ai eu la chance de manger ce que je voulais, de m'habiller comme je voulais, d'habiter où je voulais.  
   

L'argent de ma putasserie m'a permis d'acquérir une certaine forme d'indépendance, de confort, de liberté. L'argent . Améliore ma vie puissance 10. Pour avoir le droit a tout cela, j'estime que je peux bien faire un effort en supportant le client, d'autant plus que c'est un effort qui est compacté dans le temps puisque question endurance ils sont quand même tous plus ou moins des éjaculateurs précoce. J'ai connu la clochardisation, j'ai connu la misère.  Depuis cette période de ma vie, la pauvreté est une chose qui me terrifie profondément. Mes fins de mois nettement supérieures au smic se  
justifient par ma capacité à me transformer en guerrière pour aller saisir la poignée à fin d'ouvrir à l'inconnu derrière la porte. Cet effort que je fais sur moi, je ne le fais pas par courage je le fais uniquement parce que je suis motivée par l'appât du gain. D'autant plus que cette inconnu derrière la porte qui en est réduite à payer pour avoir du sexe et s' acheter la compagnie d'un être humain même si c'est Monsieur tout le monde : Monsieur tout le monde n'est pas forcément le haut du panier !!!  
 
Je demande 200 € de l’heure pour ma capacité a copuler avec n'importe qui sans être trop regardante sur la qualité de l'hygiène, du physique, de l’éducation du client. Même si le client ressemble à une poubelle ambulante, même s'il a une haleine fétide qui me donne l'impression qu'il a ingurgité des boules puantes pendant son repas du midi, même s’il sent des pieds le fromage pourri. Je dois supporter ses odeurs de transpiration ses sécrétions, son liquide séminal écœurant qu'il a bavé, dégouliné sur son ventre pire que les chutes du Niagara. Je vais devoir supporter son sexe mal lavé d'où il va émaner une subtile odeur de pisse et de chiotte. Car bien entendu, ces petits messieurs les clients sont comme des petits garçonnets et ne savent même pas se décalotter pour se laver la ***** correctement. On dirait des petits garçon qui s'imaginent que je mets le Tahiti douche uniquement pour faire décoration dans ma salle de bains. Je ne vous parle même pas des traces de matières fécales que je retrouve sur mes serviette-éponge que je leur donne afin qu'ils puissent prendre leur douche.  
 
 Ils ont 30 ans 40 ans 50 ans ; ils sont avocat, chirurgien, capitaine d'entreprise ; ils viennent me voir avec des chaussures et des montres d'un luxe pas possible, et malgré tout ça, ils ne savent toujours pas appliquer le geste d'hygiène de base que leur mère leur inculquait quand ils avaient 4 ans. Même si j'ai pleinement conscience que lorsqu'on prend la décision de se prostituer ou prend en même temps la décision de mettre ses mains dans la m***** de ses congénères, supporter toutes leurs m***** pour 200 € ne me semble pas être si disproportionné est exagéré que cela.  
 
Mes 200 € sont justifiés à souffrir en silence quand le client me mord ou pince ma poitrine de façon douloureuse. Quand il m'enfonce comme un sauvage ces trois doigts dans mon vagin en faisant des allers et venues comme un sauvage en me détruisant ma paroi vaginale avec ses ongles longs et crasseux. À me taire quand je subi un cunnilingus mal fait : quand le client se prend pour un aspirateur à ventouses, gobe mon clitoris comme si c'était un oeuf, me bave dessus comme un escargot, me gratifie de quelques coups de dentition, me rappant l’entre cuisse avec sa barbe naissante. Pendant ce temps-là pour faire croire aux clients que j'éprouve un plaisir immense alors que c'est bien plus pénible qu'autre chose, je me dandine, je me trémousse du bassin, je pousse quelques gémissements, je tords les draps entre mes doigts, je crispe les jambes pour me débarrasser au plus vite de la bave et de la langue dégueulasse du client remplit de je ne sais trop quelle microbes et bactéries.  
 
Étant donné que les hommes sont des petits monstres de vanité imbue d'eux-mêmes. Étant donné qu'ils sont bêtes et crédules ; ils sont encore capables de croire qu'ils réussissent à me procurer un réel orgasme en me faisant grimper au rideau en me tringlant alors que la seule chose qu'ils réussissent à faire c'est à détruire la tringle à rideau. J'ai une copine qui pousse la simulation à la perfection : quand le client arrive elle va faire un petit tour dans sa salle de bains afin de s’introduire une ovule qui va imiter les sécrétions vaginales. Aux premières minutes du rapport dés que le client va commencer à tripoter son vagin il va le sentir tout sec, après quelques minutes ils le voient s'humidifier par l'ovule qui fond petit à petit par la chaleur du corps. Ma copine est toujours morte de rire quand des clients qui ressemblent à des gravats, sont des amants pitoyables et en prime sont bête à manger du foin lui disent d'un air bien convaincu qu'elle est différente des autres putes qu'ils ont rencontrés car elle au moins ça se voit tout de suite qu'elle fait ça pour son plaisir !!!! A se demander pourquoi puisque elle est censée faire ça pour son plaisir ; pourquoi elle accepte de coucher avec le premier venu en échange d'argent au lieux de choisir un super beau mec qui lui plairait par son humour, son charme et sa culture et avec qui elle irait gratuitement. Mes fins de mois se justifient car je suis prête pour de l'argent à supporter la présence d' individu qui m’insupporterait s'il n'y avait pas d'argent à la clé.  
 
Au client je lui joue le rôle de la fausse petite amie, la comédie l'amour, la plante verte hypocrite servile et souriante. Pour du fric je suis toute disposée a lui jouer le rôle de la plante verte arrosable de sperme à la fin de la soirée. Je fais semblant de l'écouter, semblant de m’intéresser à sa conversation hautement affligeante et égotiste super centrée sur sa petite personne : avec le client s'est toujours son petit travail, sa petite vie, ses petites *****, ses petits déboires conjugaux ; enfin brefs, c'est toujours les mêmes discussions insipides et soporifiques atteignant très vite la très très très basse médiocrité qui ne mènent jamais à rien. Parfois, je fais même semblant de rire à leurs grosses blagues bien débiles qui ne sont pas drôles du tout et n'ont d'ailleurs jamais fait rire personne, hormis le client lui-même.  
 
Non seulement le client paye pour que je lui suce sa queue mais en plus il me paye pour que je lui lèche les bottes. Alors moyennant finances je lui lèche les bottes. Et oui mes 200 euros  de l’heure sont justifiés pour tout ça.
   
Pour moi la mort est préférable à la pauvreté. Je préfère infiniment plus l'enfer et aliénation de la prostitution au chômage, au revenu minimum d'insertion, au prolétariat. La prostitution peut être un véritable enfer avec certains clients. Et l'aliénation vient du fait que tout cet argent si rapidement gagné et rend un retour à un quelconque métier normal payé au SMIC horaire, quasiment impossible psychologiquement, tellement l'accoutumance à tout ce fric est devenue une drogue pour moi.
         
Le reportage m’a paru être surfai et sur joué par certaine prostituées , notamment une certaine Sonia travaillant dans une vitrine en Belgique. On dirait que celle ci a apprise par cœur son texte. D’autre de ses collègue ainsi  quelle même on fait acte d’une grande immodestie  en se considérant comme des êtres unique et exeptionelle qui apporte amitié tendresse écoute affection a leur clients. Il ne faudrait tout de même pas exagérer. Il serait peut-être temps, pour certaines, qu'elles arrêtent une fois pour toute de faire leurs prétentieuses en pétant plus haut que leur cul ne leur permet.  
Quand on prend son vagin pour un tiroir-caisse, son corps pour un bien marchand et monnayable. Quand on met son amour-propre, sa pudeur aux oubliettes pour ne pas dire dans sa culotte. Il n'y a pas de p*** au grand coeur qui tienne ou je ne sais trop quelles fadaises et inepties du même genre. Nous sommes toutes sans aucune exception que de pitoyables traînées de bas étage.   Quand à la p*** qui éprouverait une quelconque amitié pour son client en lui demandant effrontément des 200, des 300, des 400 euros de l’heure me paraît être un concept des plus comique. Il faudrait ne pas trop fantasmer sur la soi-disant p*** grand cœur. La p*** au grand cœur n'est valable que pour les films en noir et blanc des années 50 avec Jean Gabin. Prenez trois putes, mettez les autour d'une table, faites-les parler de leur clientèle sans journalistes, sans caméra, sans client.  
 
Quand vous allez assister au déferlement de mépris et de moquerie qui va découler de leur conversation je vous garantis sur facture que le fameux mythe de la p*** au grand cœur, va en prendre un sacré coup. Pour celle qui s'épanouisse dans la prostitution, puisqu'elle les aiment tant que cela leur client ; puisque la prostitution est une chose tellement agréable et épanouissante, elles n'ont qu'à coucher gratuitement avec eux. Ou  même mieux, elles n'ont qu'à payer leurs clients. Pour une fois, ça leur fera du changement. J'ai bien peur, qu'elles ne trouvent pas cet arrangement à leur goût. Les clients nous aiment uniquement lorsque nous sommes habillés sexy, bien maquillée, joviale, avenante, accueillante, malicieuse, entreprenante. Si demain, je m’amuse à me présenter face au client en pyjama, avec des bigoudis enroulés sur ma tête et qu’en prime je lui fais le grand déballage de printemps en lui parlant de mes gouffres, de mes terreurs, ma part d'ombre. Je ne suis pas trop sûr que ce même client à la recherche de distraction, d'amusement et d'un oasis de liberté dans son emploi du temps me trouve des plus distrayante.  
 
Pour ma part, vous aurez beau me mettre face à moi, le client le plus sympathique, le plus charmant au monde ; de façon inconsciemment, au très fond de moi-même je vais  systématiquement le détester parce que a face à lui le suis obligé de me comporter comme la plus vile des chiennes, comme la plus vile des serpillières. Pourquoi je vais le détester ? tout simplement parce que j'ai besoin de l'argent du client. Et pour obtenir que le client me donne son argent j'en suis réduite à me comporter justement comme la plus vile des chiennes, comme la plus vile des serpillières. Je vais également détester le client car celui-ci avec l'aide de son argent il est un peu le gardien de ma déchéance. Remarqué pour cela, à la limite, je n'ai besoin de personne, je le fais très bien toute seule en étant la gardienne de ma propre déchéance.  
 
Il  pour y a une chose aussi que j'ai bien remarqué chez beaucoup de mes consœurs, il faut toujours qu'elle se donne plus d'importance, de grandeur, de magnificence qu'elles n’en ont en réalité. Elles préfèrent mettre en avant le côté faussement relationnel qu'elles ont avec le client, plutôt que d'assumer leur côté suceuses de bites et dévidoirs à foutre. Dans de nombreux reportages télé, beaucoup d'entre elles nous expliquent la bouche en cœur, la gueule enfarinée que des clients les payes uniquement pour discuter. Après toutes ces années prostitution, pas une seule fois j'ai eu la chance de tomber sur ce genre de clientèle. Même si très souvent il y a 50 minutes de discussion pour 10 minutes de rapports sexuels ; j'ai toujours du passer à la casserole. Peut-être que ça leur est arrivé quelquefois dans leur carrière, de tomber sur ce genre de client, mais toutes grandes mythomanes qu'elles sont, elles montent ça en épingle en nous faisant croire que c'est quelque chose de récurrent alors que ça reste de l'ordre de l'exceptionnelle.  
 
Il faut faire attention à ne pas trop extrapoler sur la relation p***/client. Puisque ces grandes dames se prennent pour des psychologues, des analystes, des psychiatres. Puisqu'à les entendre le côté et sexe n'est pas le plus important dans la quête et la démarche du client. Je suggère a ces grandes dames de proposer comme le ferait une psychologue des relations uniquement centrées sur l'échange verbal sans aucun acte sexuel.  
Je ne pense pas que ce genre de  
service puisse intéresser de nombreux clients.  
Maintenant, évidemment que je vais être gentil avec le client, que je vais m'efforcer d'être aimable avec lui, de lui faire la conversation. Ma gentillesse n'est pas destinée à la personnalité de l'être humain que j' ai en face de moi, mon amabilité est uniquement destinée au client qui m'a payé. Je préfère 1000 fois bavasser avec le client, que me faire défoncer le vagin pendant une heure. Ma prévenance a son égard n'est pas du a ma philanthropie ou à ma charité chrétienne. À partir du moment où le client m'a payé, je me dois lui fournir, au minimum la prestation pour laquelle il m'a rétribué.  
Si j'étais réellement une p*** au grand cœur je tiendrai compagnie et j'écouterai gratuitement le client me racontai ses déboires existentiels. À ce sujet, je me suis souvent demandé, au nom de quoi et de quel droit, le client se permet de me bouffer mon énergie, de grignoter ma joie de vivre en me faisant subir et en  m’imposant toute sa m***** existentiel. J'ai infiniment plus de respect pour le client qui est équilibré clair dans sa tête qui va à la limite même pas me regarder, même pas me parler en me considérant uniquement comme une prestataire de services.  
 
Certains de mes clients quand ils s'en vont me souhaite bon courage. Dans ce bon courage il y a tout un monde. Cela signifie qu'il a bien compris que je ne suis pas une nymphomane, une hystérique, une *****. Je me sens infiniment plus respecté par ce genre de clientèle que par l'abruti qui s'imagine que je prends un plaisir immense à éponger sa conversation insipide en s'imaginant que j'attends après lui pour éprouver un quelconque plaisir sexuel.  
 
Quant à mon mépris face aux clients. Je vous garantis que quand on est au minimum observatrice, quant on se rend compte de ce que sont réellement les hommes et surtout à quel point ils peuvent être stupides, je vous assure que c'est très dur de ne pas les mépriser.  
Certains me demandent au téléphone si ça va être plaisir partagé. Bien entendu, ayant besoin de leur fric, je ne risque sûrement par de me les contrarier. Évidemment en toute bonne commerçante que je suis, je leur dis que je me prostitue pour joindre l'utile à l'agréable que je suis une occasionnelle que je passe des annonces de façon épisodique (et gnangnan et gnangnan). Le type et à l'autre bout du téléphone, je ne l'ai jamais vu, je ne sais pas a quoi il ressemble, je ne sais pas s'il va me plaire ou pas me plaire. Je ne sais pas si il va me caresser avec douceur ou brutalité, je ne connais pas son odeur est ce petit monsieur me demande si ça va être plaisir partagé ??????????????????????????????  
 
D'autre me dise qu'ils veulent que je leur donne de la tendresse. Premièrement si le client me paye je ne risque sûrement pas de lui donner ma tendresse, je vais lui la vendre. Le problème c'est que la tendresse est un sentiment tellement noble et grandiose qu'elle n'a pas de prix et n'est sûrement pas monnayables. Ma tendresse, je la garde pour mon chien, pour mes amis. Je ne vais sûrement pas m'amuser à la dilapider auprès d'un client qui en a strictement rien à foutre de ma tronche et va m’oublier vite fait bien fait dès qu'il sera sorti de mon appartement pour aller rejoindre sa femme et ses enfants.  
 
Le client  me donne de l'argent parce qu'il désire maintenir une distance entre lui et moi afin qu'il n'est surtout pas d'affecte entre nous. Ce client qui par l'argent qu ‘il me donne ne veut surtout pas de moi dans sa vie et symboliquement par le biais de l'échanges monétaires me rejette. Est bien ce client tout tranquillement, veut que je lui témoigne de la tendresse. Et puis quoi encore !!!!!  
Il a également le gros niait de service, qui vient me casser les burnes en me disant <> (PPPPPFFFFFFFFFFFFF !!!!!!!!!!!!). Non mais comme si j'attendais après lui pour qu'il vienne me faire jouir. C’est à croire qu'il souhaite que je lui dise << écoute mon petit coco, j'en ai strictement rien à foutre de ta sale tronche de macaque, j'ai qu'une seule envie c’est que tu payes et que tu dégages le plus rapidement possible. D'ailleurs, à ce sujet, tu ne pourras jamais t'imaginer, à quel point je me sens bien, à quel point je suis heureuse lorsque tu quittes mon appartement et que je referme la porte sur toi en entendant le bruit de tes pas qui descendent les escaliers. Par contre, si tu veux me procurer un orgasme, au lieu de me donner un billet de 200 €, je te suggère vivement de me donner 10 billets de 500 €. À ce moment-là je te garantis mon petit coco que je vais mouiller ma culotte sans aucune simulation>>.  
 
Il y a également l'éjaculateur précoce qui s'excuse de n'avoir pas été suffisamment performant et qui me dit qu'il fera mieux la prochaine fois. Comme si mon plus grand plaisir existentiel était de me faire limer pendant 10 millions d'années par mes clients ; alors que je suis justement toute réjouie que cela finisse aussi vite et de m‘en tirer à si bon compte.  
 
 Pour en revenir au reportage, Il ne m’a pas appris grand chose si ce n’est un long défilé rempli de banalité et de lieu commun sans grand inter. Les journalistes vont toujours chercher les même  prostituées moches et dequatilles  qui font  office de V .R.P de la prostitution.  
Ces prostituées qui décident librement de montrer leur visage a la France entier sans aucune honte ni pudeur sont dans un tel état de déchéance, de négation et de non respect d’elles-mêmes ; qu’elles n’éprouvent  via a vis d’elles-mêmes  ni honte ni pudeur. Ma honte par rapport a ma condition de ***** me permet d’être maintenue par un fil qui fait que j’ai encore un pied dans le monde des humains et que je ne suis pas encore un animale. Je suis fière de ma honte. Le jour ou je n’aurais plus honte d’être une ***** je serait irrécupérable et perdu a tout jamais.

* pour celles et ceux qui auraient raté un épisode

16 commentaires:

  1. Bravo et merci pour cette mise en regard particulièrement pertinente de ces deux témoignages (celui de l'infâme Caubère et celui de cette femme)

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  2. J'avais lu ce témoignage en son temps. Son actualité n'est pas près de s'amenuir et c'est une forte contradiction à l'article de Caubère.
    Faudrait lui envoyer tiens.

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  3. Caubère, personnalité histrionique puisque artiste de théâtre, profite du débat pour solder un vieux compte avec sa mère d'après lui castratrice et destructrice (on n'aura que sa version puisque sa mère n'est plus de ce monde) ; comportement immature : sa mère lui interdisait, donc il transgresse depuis 40 ans et... à 60 balais ! C'est totalement puéril ! De plus, son nom et sa notoriété lui permettent de s'exprimer dans les colonnes de la presse nationale et d'y venir faire sa psychanalyse, sa mauvaise propagande et régler ses comptes avec sa mère ; s'il s'appelait DuSchmol, Libé ne s'intéresserait pas à lui, ni à son opinion, ni à ses problèmes d'enfance mal réglés !

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  4. @ Mauvaise herbe

    Oui, ce témoignage montre bien que les clients, comme Caubère, se mettent le doigt dans l'oeil quand ils prétendent connaître les prostituées et savoir ce qu'elles pensent mieux que quiconque.

    @ Romane

    Ce témoignage est fort parce qu'il relève toute la complexité de la situation. Prétendre que les prostituées aiment ça parce qu'elles le disent à leurs clients (et aux caméras) c'est de la naïveté teintée de mauvaise foi.
    Lui envoyer ? : si j'avais un point de contact, oui, je le lui enverrai ...

    @ Hypathie

    Si sa mère était vraiment une féministe, Caubère est un bel exemple d'échec d'éducation féministe. Il profite de sa notoriété d'artiste pour défendre son droit (que l'on croirait indispensable pour lui) à aller s'acheter des femmes comme Polanski en profite pour défendre implicitement son droit à violer des gamines.

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  5. Oui il faut reconnaître que ca remet les pendules à l'heure comme témoignage ! C'est de la plongée en apné pure et dure. Mais en tout cas, ca nettoie les miasmes du romantisme déplacé que l'on se coltine à tous bouts de champs et en toutes circonstances au sujet des prostituées. (Je pense à Pierre Arditi et son couplet sur les prostituées de son enfance, dénoncé par Emelire).

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  6. @ Lora

    Ton commentaire n'est apparu que dans ma messagerie (?), je le copie ci-dessous. Merci pour ce lien, je vais illuster mon billet.

    "Je t'envoie son portrait, comme le voit la femme sous lui...

    Husk
    http://www.prostitutionresearch.com/c-images.html

    En bas de page.

    de Christine Stark
    1999. Pastel.

    Visage d'un homme, client-prostitueur, sur une femme prostituée, tel qu'elle le voit.

    Christine Stark est une écrivaine féministe, artiste, conférencière et militante des droits des Indiens d’Amérique. Elle enseigne la composition dans un collège communautaire dans l'État du Minnesota. Elle est membre de la Coalition des Minnesota Indian Women's Sexual Assault."

    @ Euterpe

    Je trouve que cette parole libérée par l'anonymat vaut tous les discours de façade de celles que l'on fait parler la bouche en coeur devant les caméras (parfois sous la menace, d'ailleurs).

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  7. A moins que ce ne soit Bruckner ?

    De toute façon, c'est un homme féministe qui respecte la liberté des femmes de travailler avec leur sexe (et autres orifices naturels)...

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  8. Je viens d'envoyer ce texte à Philippe Caubère.
    philippe@philippecaubere.fr

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  9. @ Lora

    Cette fois ton commentaire apparaît sur le blog mais pas sur ma messagerie ... c'est à n'y rien comprendre ! Sans compter que le lien vers ton blog dans mon blogroll n'a jamais fonctionné (je tombe sur une drôle de page ...), ça fait d'ailleurs longtemps que je veux t'en parler.

    Mais revenons à nos queutards de services: je viens de lire la contribution de Bruckner, encore un bien connu pour ses positions progressistes, n'est-ce pas ? Peut-être Anomyme pourrait nous trouver son adresse !!!

    @ Anonyme

    Comment avez-vous fait pour trouver son adresse perso ? Merci en tous cas et tenez-nous au courant en cas de réponse.

    Tout ça me donne envie d'une lettre ouverte collective à adresser à tous ces gros misos qui n'ont vu du projet que ce qui les intéressait: l'éducation à la sexualité, la prise en compte globale des prostituées ... rien ne fait le poids face à ce qu'ils prennent pour un droit.

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  10. "Avec cette proposition, Roselyne Bachelot s'inscrit dans l'attitude du gouvernement qui consiste à avoir des bouffées de moralisme délirant, pour faire oublier le reste." Dans l'interview de Brukner dans l'Obs.
    On est vraiment maudites avec ce gouvernement qui par ailleurs est effectivement moraliste ! Et tous les arguments sont bons contre Bachelot, quand on veut garder ses prérogatives de client occasionnel ou régulier ! Pour une fois que cette administration proposait un texte progressiste !

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  11. @ Hypathie

    Oui, moi aussi je déplore que ce projet entre dans le cadre de ce mandat. Sandrine aussi avait relevé le truc: http://sandrine70.wordpress.com/2011/04/07/pour-une-vraie-nouvelle-politique-contre-la-traite-des-etres-humains/
    Ceci dit, l'initiative vient du PS puisque c'est Danielle Bousquet qui a coordonné le rapport.
    Et puis, avec les contributions de réacs reconnus ou fraichement connus (Bruckner, Caubère ) dans la presse réac (Libé, Le Nouvel Obs), on voit clairement de quel côté de l'échiquier politique se situent les résistances.
    Libé, quand j'enseignais le Français Langue Etrangère, était présenté aux étrangers dans les supports pédagogiques sur la presse française comme un journal fondé plutôt à gauche mais qui s'était clairement droitisé avec le temps, n'ayant pratiquement plus rien à voir avec la ligne éditoriale des débuts.

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  12. Je suis allée voir l'interview de Bruckner et ensuite je suis allée vomir. C'est pleins de clichés, de poncifs

    " ce métier est utile à la société, il permet d'assouvir les besoins des hommes et des femmes qui sont frustré(e)s."
    --> NON il n'y a pas de besoins à assouvir dans l'urgence. C'est ce genre de propos qui justifient le viol.
    D'ailleurs les gens qui vont voir les prostituées disent qu'ils recherchent pas que du sexe, mais aussi de l'affection... chose qu'ils ne trouvent pas, évidemment, car ça ne se vend pas !

    " punir les femmes qui ont recours à la prostitution. Les féministes notamment, ont tendance à oublier qu'il y a aussi des femmes parmi les clients…"
    --> En France, ça n'existe quasiment pas. On en trouve par contre en Asie par exemple. Ce qui montre bien que les femmes vont voir des prostitués que quand elles sont en situation de domination (blanc contre asiatique)
    A noter aussi que quand les hommes se prostituent, c'est plus pour des clients hommes et qu'ils portent souvent des symboles féminins (en d'autres termes: ce sont souvent des travestis)
    Tout cela indique clairement que la prostitution est un rapport de domination où les dominants payent des dominés.

    " C'est navrant, mais c'est un mal nécessaire."
    -->Sans doute la phrase la plus nauséeuse de tout l'article.
    Du tant de l'esclavage, certains tentaient aussi de l'aménager et ne voulaient pas le supprimer car c'était soit disant nécessaire à l'économie...
    Non, ça n'est pas un mal nécessaire. Beaucoup de gens vivent sans avoir jamais ressenti le moindre besoin de voir une prostituée.
    En plus, cette horrible phrase sous-entend qu'une partie de la population doit se SACRIFIER pour une toute la société.

    Bref, tout simplement gerbant.

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  13. C'est un témoignage boulversant je trouve, merci de nous l'avoir fait partager ...pour comprendre un peu mieux le quotidien de ces femmes même si les mots ne peuvent pas tout dire ...
    Opale

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  14. @ Antisexisme

    Ils sont bien gerbants, effectivement. Au sujet des trois points que tu évoques et avec lesquels je suis parfaitement d'accord:

    - de besoin impérieux, il n'y en a pas en matière de sexualité comme tu dis mais ces types vont encore plus loin en affirmant en filigrane que ce "besoin" nécessite un droit;

    - effectivement, l'argument des prostitués masculins est beaucoup avancé en ce moment pour nier la domination qui s'exerce en prostitution. D'ailleurs il est facile de se rendre compte qu'il est fallacieux en constatant que dans les pays où la prostitution a été légalisée, les eros-centers n'existent quasiment pas ou pas du tout. Pourtant, rien n'empêche quiconque d'en ouvrir un ... Au Névada, un établissement dans ce genre a dû fermer: la dizaine de femmes qui ont poussé la porte, dont quelques journalistes, ont rapidement donné la (non)tendance;

    - bien vu le parallèle avec l'esclavage considéré comme un mal nécessaire; c'est toujours un mal nécessaire pour qui a de vils intérêts. Aucun mal n'est nécessaire et on ne meurt pas de ne pas aller voir de prostituées, que je sache.

    En tous cas, merci pour ta contribution qui nourrit la réflexion !

    @ Opale

    Merci pour votre soutien et pour l'intérêt porté à ce témoignage ;)

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  15. Désolé de la réponse tardive.
    J'ai trouvé le mail de Caubère sur son site web simplement en tapnt son nom dans Google.
    A ce jour, aucune réponse.
    Bonne continuation et Merci beaucoup !

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  16. @ Anomyme

    Moi aussi, réponse tardive !!! Merci en tous cas. Je n'aurais jamais pensé qu'il fut aussi simple de trouver l'adresse d'une personne plus ou moins célèbre. Je vais lui envoyer un petit mot moi aussi ;)

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